Le grand et merveilleux Amadeus ¦ Admin tyranique

.:Your Character:.

.:Principales informations:.

Prénom(s): Amadeus
Surnom: Je hais les surnoms et si vous tenez à votre vie, évitez de m’en donner, surtout les surnoms idiots du genre Amou.
Age: 563 ans
Pouvoir: Je peux créer des visions, ce qui est un pouvoir plutôt divertissant. En effet, je peux recréer votre pire cauchemar sous vos yeux et la réalité de celui-ci vous semble saisissante. Pourtant, ce n’est qu’une vision, mais lorsque vous êtes victimes de mon pouvoir, vous oubliez bien vite que ce n’est pas vrai.

.:Your personality:.

Caractère: Mes qualités et mes défauts? Voyez-vous mon brave, me décrire tire pratiquement de l’impossible. Peu réussissent à me cerner et ceux qui ont réussi s’en sont pris à leurs propres jeux. Tantôt doucereux et mielleux, tantôt aussi machiavélique et froid que le diable lui-même, je peux donc paraître faux, mais en même temps tellement authentique et cela cantonne bien souvent les gens dans une incompréhension totale de ma personne. Si j’use de beaux mots et de charme envers autrui, c’est que je veux obtenir inévitablement quelque chose et croyez-moi, rare sont les fois ou je n’obtiens pas ce que je désir. La mesquinerie et la fourberie font parties de mes atouts et je les utilise aisément pour berner les gens et là encore, cela m’aide grandement à avoir obtenir tout ce que je veux. Il y a aussi cet air angélique dont j’aime me teinter le regard. Ensorcelé par ces prunelles divines, il semble que l’on peut tout me confier, que se soient vos secrets ou même votre vie, vous pensez alors que je suis l’incarnation même d’un ange et que tous ce que vous avez de plus précieux est entre de bonnes mains. Les apparences sont parfois trompeuses et j’en suis l’exemple parfait. En me disant tout de vous, de votre vie, de ce que vous avez de plus secret, vous venez alors de signez un pacte avec Satan lui-même et soyez sûr que je saurai utilisé à bon escient ce que je sais de vous, soit pour vous briser ou pour vous manipuler à ma guise. Vous voyez alors que vous n’avez plus d’échappatoire puisque ma finesse et ma subtilité vous ont aveuglé et la folie s’empare de vous. Pendant ce temps, je vous gratifie d’un rire sardonique ainsi que d’un sourire froid et de total triomphe, car j’ai réussit à parvenir à mes fins avec vous. Si telle est le cas, votre situation vous échappe alors puisque le revirement de situation est impensable et vous êtes inévitablement pris dans un cercle vicieux et ce, avec la corde au cou. Il n’y a que moi qui peut vous manier comme je le désir et je n’en ai aucun remord. Toutefois, si j’ai à vous éliminer ou à ternir votre vie, je le fais toujours avec une minutie, une patience et une intelligence exemplaire. D’ailleurs, tout ce que j’entreprends font montres de ces trois qualités. Je suis aussi terriblement exigeant autant envers moi-même qu’avec les autres et cela se voit aussi dans tout ce que je fais. Ne vous étonnez pas si mes paroles vous semblent acides puisqu’elles sont ainsi et lorsque j’ai une opinion ou une idée, je n’ai pas peur de la clamer haut et fort. Toutefois, je le fais toujours avec cette grande classe bien à moi. Par contre, s’il vous vient à l’idée de vous imposer à ce que je dis, sachez que vous venez d’attisé mon courroux envers vous et vous ne souhaitez pas cette situation. En effet, lorsque je hais quelqu’un je le lui fais odieusement savoir avec un regard glacial et des paroles acerbes et dégradantes. Je me plais à faire cela puisque je sens alors que ma supériorité monte en flèche et je me suis toujours plut à dominé. Par contre, je choisis toujours mes victimes de façon à ce qu’elle soit facilement manipulable. Toutefois, lorsqu’un individu est nettement supérieur, je sais alors qu’il faut que je m’efface, mais rare sont ces situations. Pour le savoir, je me montre calculateur, rusé et fin stratège. Je me fou des états d’âmes d’autrui et on me qualifierait d’égoïste, car seul ma personne compte. Je suis le mystère même et jamais je ne doute de moi. Mes réactions peuvent être tout aussi disproportionnés que calme et réfléchis alors vous ne pouvez prévoir le moindres de mes gestes ou la moindre de mes réactions. Si c’est le cas et bien c’est que vous êtes très observateur. De toute façon, je suis beaucoup trop orgueilleux pour montrer le moindre sentiment. Si je ne souhaite pas être dérangé, je le fais immédiatement savoir, souvent de façon hautaine, car je n’en ai rien à faire des autres. Je suis solitaire, alors rare sont les fois où j’ai besoin de quelqu’un pour me tenir compagnie. Toutefois, lorsque je m’ennui et que j’ai besoin de me « divertir» entre mes draps, les humaines font amplement l’affaire. De toute façon, elles sont si faciles à charmer. Malgré ce caractère révulsant, il y a un peu de bon en moi, mais il est admirablement bien caché et je vous souhaite bonne chance pour le trouver. Je vous le dit tout de suite, c’est peine perdu, car le mal m’est encore plus attrayant que le bien.
Description physique: Posez cette question à de jeunes demoiselles et je suis sûr qu’elles me décriraient ainsi, beau, charmant et irrésistible. Un regard envoûtant aux iris d’un brun si profond et merveilleux que si complaire pourrait vous paraître être de la folie. Mes orbes sont le miroir de mon âmes ainsi que des mes sentiments du moment et si vous avez assez de courage pour planter votre regard dans le mien et bien, vous découvrirez alors combien mon âme est laide et vous regretterez aussitôt votre geste. Je cache bien mon jeu avec ce petit air angélique dont j’aime m’arborer le visage pour plaire à ces dames ou encore, pour faire croire aux hommes que je suis aussi inoffensif que l’enfant né. Bien entendue, ce n’est pas le cas. Mon esprit perfide et belliqueux vous aura alors encore dupé. Il n’y a que mon regard aussi glacial qu’une nuit d’hiver qui peut me trahir, mais là encore ce n’est pas tout le monde qui a le courage de l’affronter. Cela fait en sorte que je vous semble encore plus mystérieux, car mes sentiments ne vous sont alors jamais dévoilés, mais le mystère n’est-il pas plus attrayant que l’évidence? Pourtant, ont ne peut s’empêcher de venir me parler, car mon charisme a toujours raison des gens. Une démarche assuré, une voix au timbre posé, ensorceleur et se voulant quelques fois aguichant et suave et tout de suite, vous ne pouvez plus vous passer de ma présence pour bon nombre de minutes. N’oublions pas aussi cette sérénité presque dérangeante sur mon visage et dans mes gestes qui troublent aussi les gens. En effet, il est point facile de me démonté et ce, peu importe l’étendue de l’épreuve dans laquelle je suis. De plus, mes gestes peuvent vous semblez calculé, mais en même temps si impulsif. Sachez qu’ils ne sont que calculé, l’impulsivité n’est en fait qu’un effet que j’aime donner pour créer la surprise. Mais, vous ne pouvez déchiffrez la moindre once d’émotion venant de ceux-ci et ce, même en y étant extrêmement attentif. De toute façon, je vous l’ai déjà dit, seules mes prunelles peuvent trahir ce que je ressens. Toutefois, si vous êtes observateur, un petit signe avant coureur peut vous indiquer si je suis furieux et il se résume à un simple rictus au coin de mes fines lèvres. Si c’est le cas, et bien il est encore temps pour vous d’éviter mon terrible courroux. Tout comme mon regard, ma fière apparence, malgré son peu d’originalité, ne passe pas inaperçu. Cheveux foncés et décoiffés, mais pourtant irrésistible, habit long et pour la plupart du temps noir ainsi qu’un visage aux traits harmonieux et terriblement masculin, on se retourne pourtant vers moi lorsque je passe dans les environs.

Principale qualité: Mon intelligence bien sûr.
Principal défaut: Le principal? Le fait que je sois manipulateur, mais bon moi je ne trouve absolument pas que c’est un défaut. En fait, je ne fais que rapporter ce que plusieurs personnes m’ont déjà dit. Dommage pour eux, car grâce à moi, ils sont maintenant sous terre entrain de pourrir.
Objet fétiche: Ce n’est pas un objet en fait. Quand même, je ne traiterais pas Amos d’objet se serait horrible de ma part. Amos est vraisemblablement un loup qui n’est nul autre que mon animal de compagnie. Cet animal m’a toujours apporté beaucoup et aussi curieux soit-il, je l’aime beaucoup. Étrangement, il m’apporte une certaine chance et m’a toujours protéger contre beaucoup de choses. Non pas que je ne sais pas me défendre, c’est simplement que sa loyauté est infaillible.


Relations amicales: Amicale? Est-ce que vous croyez sincèrement que j’ai besoin d’amis? Absolument pas. J’ai déjà Zekiel qui me casse les pieds alors c’est amplement suffisant. En parlant de Zekiel, je ne sais absolument pas comment je fais pour la supporter plus d’une heure. Moi qui d’habitude ne tolère pas beaucoup les gens, avec elle, je réussis à tenir longtemps sans avoir une envie soudaine de frapper quelqu’un, quoi que nos conversations finissent souvent en bagarre, mais bizarrement, je dois vous avouer que j’aime bien sa compagnie. Par contre, il ne faudrait pas qu’elle sache que c’est à cause de moi qu’elle est devenu un ange déchu, là elle me tuerait…faudrait qu’elle réussisse par contre, ce que je doute fortement. Il y a aussi Romana. Certes, je l’ai mise dans cette catégorie, mais je ne pourrais pas vraiment qualifier cela d’amitié. Je dirais plutôt que c’est une connaissance sympa. Elle est une des seules que je puisse supporter simplement parce qu’elle n’est pas très causante. En effet, j’aime bien qu’on me laisse parler et c’est exactement ce qu’elle fait. Oui bon quelques fois elle ne m’écoute pas, mais au moins, elle ne monopolise pas la conversation.
Relations amoureuses:Premièrement, je ne connais aucunement ce sentiment. Pour moi, l’amour n’existe pas. Certes, elle existe pour certain, je ne suis pas idiot tout de même, mais moi je n’ai jamais put ressentir ce genre de chose. En fait, je ne veux pas m’embêter avec ce sentiment. En plus, c’est tellement compliqué.
Relations conflictuelles: Oh là par contre vous amenez un point fort intéressant. À vraid ire, on peut dire que je déteste tout le monde sauf quelque chanceux. J’ai eu de nombreuses personnes que j’ai détesté dans ma vie, mais aujourd’hui, il y a cette Hinako, une gamine de 17 ans qui n’arrête pas de me coller aux baskets. Je n’ai rien contre le fait d’avoir des groupies, mais par pitié, pas quand elles ont cet âge. Quelques fois j’ai cette forte et irrésistible envie de la défenestrer, il me semble que se serais tellement soulageant, mais bon elle a un pouvoir plutôt puissant alors il faut l’épargner, je suis donc condamner à jouer la baby-sitter pour cette foutue gamine.

.:Your past and your present:.

Histoire: Je suis vraisemblablement né d’une union démoniaque. C’était en l’an 1445 lors d’une fête. Les paysans célébraient en fait l’arrivé du printemps. La fête battait son plein et l’alcool coulait à flot cette soirée là. Près d’un grand feu, les paysans dansaient au rythme de la musique. Le prêtre du village s’étant endormit à cause du trop grand nombre d’alcool qu’il avait ingurgité, les villageois avaient donc feu vert pour faire ce qu’ils voulaient. Quelques-uns s’étaient trouvés un partenaire d’une nuit pour pimenter cette soirée ou la débauche avait atteint son paroxysme et d’autres charmaient pour espérer avoir quelqu’un à leur tour pour l’acte luxurien. Un homme était assis un peu en retrait et regardait cette scène avec un sourire de satisfaction. Cet homme n’était nul autre que mon père, un noble anglais, qui avait prit part, malgré son haut statut, à la fête. Ma mère quant à elle dansait avec un paysan. Elle aussi était de famille noble, mais elle s’était enfuie de chez elle, simplement pour assister à cette célébration et surtout, pour fuir la platitude de la réception qui se donnait, à ce moment là, dans sa demeure. Mon père, Esaias, l’a remarqua un peu plus tard. Ils se connaissaient déjà bien sûr, mais il y avait toujours eu cette petite tension entre eux et avec ma naissance, elle perdurera. Toutefois, il y avait toujours eu cette attirance physique entre eux et ce soir là, leur désir allait être assouvi. Il faut dire que l’alcool aidait beaucoup. Mon père alla donc rejoindre ma mère, Eden, et un peu plus tard, leur corps ne firent plus qu’un. Ma mère ne savait pas qu’elle allait passer les pires mois de sa vie, tout comme mon père. C’est alors que quelques mois plus tard, durant une froide nuit d’hiver, je naquis. Après maints jurons de mon père accompagnés des cris déchirants de ma mère, je respirai ma première bouffé d’oxygène. Déjà à ma naissance j’étais irrésistible puisque ma mère craqua dès qu’elle me vit. Elle ne regretta plus alors les mois passés à endurer un ventre énorme et encombrant. Quant à mon père, il me détestait. De toute façon, il allait changer son fusil d’épaule après ma majorité. Je grandis donc et devint un petit garçon fort charmant, enfin pour certain. En effet, j’adorais usé de mon charme implacable pour amadouer les gens et pour obtenir ce que je voulais, mais lorsqu’ils avaient le dos tourné, je n’hésitais pas à faire les pires coups. Je me rappel du nombre incalculable de gouvernantes que j’ai traumatisée et j’en aie un sourire nostalgique. C’était une belle époque. Ma mère trouvait cela attendrissant et elle ne se gardait pas de me le dire. Par contre, mon père me traitait comme si je n’étais que de la fiente d’oiseaux. D’après lui, cela allait m’endurcir. Par chance, ma mère réussissait souvent à l’empêcher de lever la main sur moi, mais quelque fois, je recevais quand même le coup. Enfin, j’ai été vengé puisqu’il est mort à cause de moi. Nous étions dans une situation fâcheuse et c’était moi ou lui, mais bon je vous raconterez cela en détail un peu plus tard.

Quelques années passèrent et je devins un adulte à la plus grande joie de mère. Que voulez-vous, elle était fière de ce que j’étais devenu et moi aussi d’ailleurs. Enfin, je pouvais faire ce que je voulais et ma haine envers mon père ne s’était pas atténuer. J’attendais le bon moment pour l’éliminer pour de bon. J’en avais assez de vivre dans son ombre puisqu’on ne me voyait pas comme Amadeus, mais comme le fils d’Esaias. Aussi, depuis ma naissance il me faisait vivre un enfer perpétuel. Partout chez les démons, on glorifiait son nom, mais moi je n’étais que sa vulgaire progéniture qui ne méritait pas une once d’attention, car même si je faisais quelque chose de merveilleux, mon père faisait toujours quelque chose de mieux. Ma mère voyait bien que je le haïssais du plus profond de mon âme, mais elle ne s’y opposait pas. Elle aussi avait apprit à le mépriser pour ce qu’il était. C’était parfait pour moi, puisque j’avais une alliée qui m’appuierait si jamais les choses se gâtaient. Enfin, je devais tout de même me montrer patient, subtil et malin, car je savais que mon père avait l’esprit vif pour déceler les complots contre lui. On dit toujours qu’il faut se méfier des gens calme et peu bavard et bien, c’est ce que j’étais. J’élaborais des plans machiavéliques pendant que mon père, le principal visé, se vautrait dans une sécurité dangereuse à mon égard. D’ailleurs, pendant que je magouillais, mon père perdait son temps à me trouver une femme à marié. À cette époque, le mariage était une chose primordiale pour tout homme qui atteignait sa majorité…pitoyable. De plus, celle-ci devait être de bonne famille. Nombreuses prétendantes me désiraient comme époux, mais moi, je n’en avais que faire d’eux. D’ailleurs, elle devait être démone, mon père avait la manie de ne pas tolérer les demi-sang chez les démons alors un être à moitié démon et humain était absolument impensable dans notre ligné. Il me trouva une femme, fort jolie d’ailleurs, et nous nous mariâmes puisque je n’avais pas vraiment le choix. Difficile de croire que j’ai déjà été marié n’est-ce-pas? Mais rassurez-vous, j’avais un grand nombre de maîtresse et je ne m’occupais guère de ma femme. Elle s’appelait Bree et m’énervait au plus haut point. Elle ne pouvait pas passer une minute sans parler. Sans cesse, elle me rabattait les oreilles avec des banalités médiocres et ce, à chaque jour. Dire que cette chose était une démone. Au moins, elle ne me révulsait pas physiquement, bien au contraire, elle était très attrayante. C’était déjà ça. Quelques mois après notre mariage, elle accoucha de deux jumelles, ce qui faillit m’achever. Vous vous rendez compte, en plus d’être nées elles étaient jumelles. Quel horreur. Ces affreuses choses finirent par grandir et devinrent de véritables pestes. Elles avaient hérités des traits de leur mère, mais pour ce qui était de leur caractère, on disait que c’était la copie même du mien. Bien sûr, je collais une baffe à quiconque osait me le rappeler.

Les années passèrent et je n’avais toujours pas accomplit ce que je voulais faire depuis tant d’année, mais rappelez-vous que j’ai une patience à toute épreuve et cela allait être récompensé puisque ce jour finit par arriver. C’était le 18 novembre 1871. Enfin, mon père mourut noyé de mes mains. Jamais je n’avais éprouvé autant de plaisir à tuer. La nouvelle de la mort d’Esaias se répandit bien vite parmi les démons et me faisant hypocrite, je fis semblant d’être désoler en inventant une histoire pour masquer mon meurtre. Satan n’apprécia pas naturellement et il me punit comme il se devait. Toutefois, je devenais un des plus vieux et j’étais aussi le fils d’un des démons les plus appréciés par celui-ci, ce qui me sauva de la mort. Ma mère s’en gonfla de fierté bien sûr et me remercia grandement d’avoir éliminé l’homme qu’elle détestait le plus au monde. D’ailleurs, elle méritait amplement que je le fasse pour elle. Nous fêtâmes cela avec un verre de whisky, sur la terrasse de ma villa. Suite à cette victoire, les années futures furent bien plus joyeuses. J’étais enfin débarrassé de ma femme et de mes enfants, car elles avaient disparut de ma vie et ma mère était encore plus heureuse qu’à l’ordinaire. Malgré les grands malheurs que vivaient les humains avec l’arrivée de la première et de la seconde guerre mondiale, notre bonheur n’était en rien touché. Partout, des millions de soldats et de civiles mourraient sous les feux de l’ennemi, mais moi et ma mère n’en étions nullement affectés puisque la vie des humains ne nous importait guère. En plus, cela faisait augmenter les effectifs de façon hallucinante en enfer. Bref, ma vie s’étant arrangé, je nageais dans un pur bonheur. De plus, les autres démons commençaient à me témoigner beaucoup plus de respect et Satan commençait à moins regretter sa décision de m’avoir laissé vivre puisque je détournais bon nombre d’humain de la «bonne» voie. Les années passèrent encore et vu mon âge, je commençais à connaître beaucoup plus les humains, sitôt que mes techniques pour les rendre mauvais s’avérèrent beaucoup plus efficaces. C’est alors que je ressentis le besoin de me tailler aussi une place de renom dans le monde des humains. En effet, le pouvoir que j’avais déjà ne me suffisait pas. Je décidai donc de m’ouvrir une entreprise. Pourquoi pas l’armement me suis-je dit? Et bien c’est exactement ce que je fis puisque l’armement était un secteur qui rapportait beaucoup. Six ans passèrent avant que ma compagnie prit réellement de l’essor et lorsqu’elle atteignit la renommée que je lui souhaitais, je devins un des plus riches et jeune président de compagnie du monde. C’est d’ailleurs à cause de cela que je rencontrai Walter Gillespie, un riche homme d’affaire. Il me contacta et nous prîmes rendez-vous pour un dîner d’affaire. Celui-ci voulait acheter ma compagnie. Bien entendu, je déclinai l’offre, mais je lui offris d’acheter la sienne pour une bonne somme. Toutefois, il en resterait le sous directeur. J’eus du mal à le faire accepter, mais il finit par signer le contrat et c’est à partir de ce moment que je noircis son âme. Il devint bien vite mauvais et j’en fus extrêmement satisfait. Je plaignais toutefois son ange qui devait endurer un réel enfer à cause de moi. Par chance, Zekiel n’en sait rien aujourd’hui.

Évènement marquant de votre vie: L’évènement marquant de ma vie est sans aucun doute la mort de mon père. Voyez-vous, ma vie a changé suite à cela. C’était le 18 novembre 1886. Mon père, ma mère et moi avions pris le bateau pour nous rendre en France, simple vacances que nous avions décidé de prendre en famille. C’était lors d’une fraîche nuit d’automne et j’étais sur le pont, incapable de dormir puisque ma nuit avait été tourmenté par l’insomnie. Regardant les vagues calmes de l’océan et sans faire attention à cette brise marine qui me frôlait le visage, mon esprit était happer par nombreuses réflexions qui se bousculaient sans ménagement dans ma tête. Je me rappel que j’en avais pratiquement un mal de tête atroce. L’océan était étrangement calme cette nuit là, mais je voyais au loin des nuages noirs qui se faisaient de plus en plus menaçant, ce qui ne présageait rien de bon. Toutefois, je ne m’en préoccupais guère. Jouant avec le pan de la couverture que je m’étais mit sur l’épaule, je pensais toujours, sans me rendre compte que le temps se gâtait et que le calme de cette nuit là allait être de courte duré. Aussitôt, des vents violents commencèrent à se faire sentir et je pouvais entendre le tonnerre gronder au loin. Je sus aussitôt que quelque chose n’allait pas. Une forte averse se mit à tomber à grosse goute sur moi, me forçant ainsi à entrer dans ma cabine. Des éclairs striaient le ciel et lorsque je revins à ma cabine, je remarquai que la tempête au dehors avait réveillé bon nombre de gens puisque quelques-uns étaient sortit dans les couloirs et je pouvais lire sur leur visage une certaine inquiétude. C’était d’ailleurs fort compréhensible puisque le bateau pouvait faire naufrage. Je décidai d’aller voir mes parents, pour voir si tout allait bien et je vis qu’eux aussi s’étaient réveillés. Nous sentîmes alors le bateau tanguer et une dame cria au loin. Il eut alors une forte secousse et plusieurs personnes furent projeter sur le plancher et sur les murs. A cause de la forte tempête, le bateau s’était fait emporter par les vagues vers des récifs et celui-ci les avaient inévitablement heurtés. Une cloche sur le pont retentit et aussitôt, il eu panique parmi les gens. Tous se précipitèrent vers le pont en criant et en se bousculant. J’entendis une femme crier des noms, sans doute ses enfants qu’elle cherchait désespérément parmi cette foule apeurée, mais je n’y fis pas attention très longtemps puisque ma mère m’attrapa le bras pour me forcer à la suivre elle et Esaias.

Sur le pont, il y régnait une atmosphère de pur chao et les marins ainsi que le capitaine tentaient de calmer les passagers, mais en vain. Plusieurs se jetaient sur les canots de sauvetage pour s’assurer d’avoir une place. En effet, il n’avait pas de canot pour tout le monde. Dommage pour la dernière classe, car c’était la première classe qui y avait droit en premier. Par chance, nous étions en première classe. Toutefois, nous devions nous faufiler parmi cette énorme foule, ce qui causait obstacle. Les marins tentaient de mettre les gens en file, mais ceux-ci n’écoutaient absolument rien, ce qui compliquait les choses. Mon père nous pressait et ma mère tremblait de froid. C’était compréhensible puisque la nuit était glacée et elle n’avait qu’un simple châle sur les épaules pour la protéger du froid mordant. Je lui mis ma veste sur les épaules et elle me gratifia d’un pâle sourire. Je poussais sans scrupule ceux qui se trouvaient dans mon chemin. Nous devions absolument avoir une place dans un canot, car la côte était encore loin et il était impensable que nous la rejoignions à la nage. L’eau était aussi très froide en ce temps de l’année alors nous risquerions de mourir d’une hypothermie si nous plongions dedans. Finalement, je remarquai un canot un peu plus loin et j’accourus immédiatement vers celui-ci. Le problème, c’est qu’il y avait déjà trois places de prises et il en restait deux. Arriver au canot, mon père me poussa violement. Une colère gronda aussitôt en moi:

-Je suis arrivé le premier.

Il ricana méchamment. Il jeta un regard méprisant à ma mère et de sa voix terriblement dur, il me répondit ceci:

-Il reste encore une place Amadeus.

-Non! Elle est pour mère!

J’avais crié tant il me dégoutait. Croyait-il sincèrement que j’allais laisser ma mère mourir noyé? Absolument pas, elle méritait cette place dix fois plus lui. D’ailleurs, celle-ci lui jeta un regard noir et qui témoignait très bien de ce réel mépris qu’elle ressentait pour lui à ce moment là. Malgré le fait qu’elle tremblotait et que ses traits étaient tirés par la fatigue, elle n’avait jamais été aussi digne et forte. Elle affrontait mon père dans toute sa splendeur et lui se sentait soudainement terriblement petit, car il détourna aussitôt ses prunelles des siennes. Mon regard se teinta d’une lueur menaçante. Il fallait absolument que je le tue. Mes mains me démangeaient tellement c’était une urgence. Jamais je ne l’avais autant haï qu’à ce moment là. Non, ma mère n’allais pas perdre sa place dans ce canot et surtout, je n’allais pas laisser passer une occasion aussi admirable de l’éliminer pour de bon. Je n’avais qu’à le jeter par-dessus bord et les vagues finiront le boulot. Il ne survivrait certainement pas à ces flots et surtout pas à cette eau glacé. De plus, peu risquerait de le remarquer, car il faisait extrêmement noir et il pouvait encore moins crier, car le fracas assourdissants des vagues enterreraient ses hurlements. Je souris alors d’amusement. Comme cette idée me plaisait. Une lueur meurtrière brilla alors dans mes orbes sombres et un ricanement sardonique sortit de ma gorge. Mon heure était enfin venu. Ma mère comprit que je préparais quelque chose dans ma tête puisqu’un fin sourire s’étira sur ses lèvres pâles. Esaias était maintenant seul, car ma mère s’était ranger de mon côté. Mon père le comprit. Une colère mâtina ses iris et son visage se déforma en des traits colériques. Ce fut sur moi que fut dirigé ce regard. Nullement effrayé, je m’avançai vers lui et toujours avec ce sourire inquiétant, je m’arrêtai qu’a quelques centimètres de lui. Confus et peu confortable mon père me dit:

-Qu’est-ce que tu t’apprête à faire Amadeus?

-Mais ce que vous m’avez toujours enseigné père, me débarrasser de ceux qui me gêne.

Mon père sourit alors, même s’il savait que l’heure de sa mort avait sonné. Sans plus attendre, je l’empoignai par la chemise et le jeta par dessus bord. Trop surprit, il ne put se défendre et son corps tomba lourdement dans l’eau noire. Satisfait, je me tournai vers ma mère et celle-ci sourit de fierté. J’embarquai aussitôt dans le canot et l’aida à monter dedans. Des marins laissèrent glisser doucement les cordes entre leur main pour le mettre à l’eau. Lorsque le canot toucha l’eau, les vagues essayèrent de le prendre, mais moi et un autre jeune homme attrapèrent les rames. Des milliers de personnes se débattaient dans l’eau et quelques corps flottaient, signes que la mort les déjà avait emportés. Je commençais à trembler de froid puisque ma chemise était complètement mouillé et le contacte glacial de l’eau n’aidait pas. Par chance, je ramais, ce qui m’aidait un peu à me réchauffer. Je passai toute la nuit à ramer sans m’arrêté, mais lorsque les faibles rayons solaires me caressèrent la peau, je sentis la fatigue poindre. Je tremblais encore, mais cette fois-ci c’était à cause de la fièvre. J’eus soudainement une quinte de toux, signe que j’étais maintenant malade à cause du froid. Un homme s’empressa de prendre ma place en me disant qu’il fallait que je me repose. On mit une couverture sur mes épaules sèche sur mes épaules et ma mère posa un regard inquiet sur moi. Je lui fis signe que tout allait bien. Bien entendu, je n’allais pas bien, mais je n’étais pas à l’article de la mort. Nous étions sauvé c’était tout ce qui comptait et mon père n’était maintenant plus de ce monde.

.:You:.

Personnalité sur l'avatar: Orlando Bloom
Surnom: bah…Amadeus tient c’est le nom de mon perso XD
Age: 17 ans
Masculin ou féminin? féminin
Où avez connu le forum? Je ne réponds même pas parce que la réponse est d’une évidence pitoyable XD
Votre niveau rp: 8/10
Commentaires: Attention à l’érosion les enfants parce qu’un jour tout peut disparaître à cause d’elle. (Moi et Zekiel on se comprend c’est ça l’important XD)
Code: ok by moi-même ^^