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 Zekiel - Admin louche

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Zekiel
Who are you calling a damn bleeding heart?
Zekiel


Féminin
Nombre de messages : 146
Age : 33
Âge du perso : 579 ans, 25 en apparence
Race : Ange déchue
Pouvoir : Guérir les autres, infliger des lésions internes.
Métier : ?
Citation : \"Contend not with monsters, lest you become a monster, and remember, when you gaze into the abyss, the abyss gazes also into you.\" - Nietszche
Date d'inscription : 13/04/2008

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MessageSujet: Zekiel - Admin louche   Zekiel - Admin louche Icon_minitimeMar 22 Avr - 3:14

.:Your Character:.

.:Principales informations:.

Prénom(s): Zekiel
Surnom: Zeke. Rares sont ceux que je laisse m’appeler par mon surnom. Non, cet idiot d’Amadeus n’en fait pas parti.
Age: 579 ans, mais en apparence, 25 ans.
Pouvoir: Je peut guérir quelqu’un tout simplement en le touchant, malheureusement je ne puis utiliser cette habileté sur moi-même. Depuis ma … transformation, j’arrive à créer aux gens de petites lésions internes, ce que j’estime être le côté sombre de mon pouvoir.

.:Your personality:.

Caractère: (Nous demandons un minimum de 8(10, 14) lignes.) J’ai un sale caractère, il serait malhonnête de le nier et de toute façon, vous vous en rendriez compte bien vite. À moins bien sur d’être naïf (ou idiot, qui sait) au point de ne pas remarquer mon ton dégoulinant de sarcasme. Évitez d’être égocentrique, s’il vous plait, il ne faut pas croire que ma mauvaise humeur ne s’adresse qu’à vous. Comme dans le communiste, chaque travailleur a droit à sa part. Certains, cependant, abusent du système et ont droit à une démonstration de toute ma rage, après laquelle je me sens habituellement beaucoup mieux. Crier me fait du bien, je devrais le faire plus souvent. Quoi qu’il en soit, ma personnalité a bien sur d’autres fascinantes facettes. Je sais que vous mourrez d’envie que je vous les décrive. Quoi ? Entendrai-je des protestations ? Ridicule.

Malgré mes quelques épisodes colériques, je suis d’une nature plutôt calme et posée. Je ne possède aucune impulsivité, le moindre de mes gestes est réfléchi. Il ne s’agit pas d’un manque de confiance en mes habiletés, seulement, j’adore réfléchir. Rien ne me diverti plus que de me plonger dans de longues réflexions et d’élaborer divers plans et scénarios. J’y passerais mes journées entières, si j’en avais la possibilité. C’est toujours de mauvaise grâce que j’abandonne mes pensées pour le monde réel, sauf de toute évidence si je m’apprête à les confier à quelqu’un qui les écoutera attentivement en hochant de la tête aux moments appropriés. Gare à celui qui me contredira car il devra par la suite se passer de mes conseils, situation désastreuse. Tout désaccord avec mes théories doit être formulé en tant que suggestion, non pas en tant que contradiction, je prends mal la critique. Vous ne voudriez pas me vexer, n’est ce pas ? C’est bien ce que je pensais.

Contrairement à la croyance populaire, j’ai aussi un côté doux. Croyez moi, il est extrêmement bien dissimulé ce qui porte les gens à se dire que je devait être un ange absolument inefficace avant ma chute. C’est complètement faux, je suis juste un peu passive. Pas de blagues douteuses s’il vous plait. Comme je l’ai mentionné plus haut, mon domaine est celui de la réflexion, pas de l’action. Tel un joueur d’échec, j’aime imaginer une stratégie que j’appliquerai sans y prendre part physiquement. Ce n’est pas de la paresse, c’est plutôt du réalisme. Ma force ne réside pas dans mes muscles mais dans mon cerveau. Mon sens de la ruse en impressionne plus d’un, ainsi que ma capacité à imaginer les différentes tournures que le plan pourrait prendre. Mais quittons le sujet de mon intelligence supérieure pour revenir à celui de ma douceur occasionnelle. Je l’admets, occasionnelle est un mot bien faible pour décrire correctement la fréquence des instants durant lesquels mon regard se fait avenant. Le terme qui conviendrait serait plutôt ‘’ Douceur qui ne se montre le bout du nez qu’à la même fréquence que les éclipses solaires complètes’’. Elle n’est réservée qu’à une seule personne, voyez vous… Mais nous en reparlerons plus loin.




Description phyisque: (Nous demandons un minimum de 8 lignes) Ne prenez pas cette affirmation pour la manifestation d’un ego surdimensionné, mais je crois que je suis assez mignonne. Pas la plus jolie des femmes, toutefois un spécimen tout à fait respectable. Quel être normalement constitué serait en mesure de résister à l’attrait de mes charmants yeux pâle qui attirent invariablement le regard sur mon visage de porcelaine encadré de cheveux d’un noir de jais ? Ce physique inhabituel est un argument en faveur de ma beauté. Je crois que ce qui m’empêche d’être considérée comme une reine de beauté, c’est que je donne des frissons dans le dos à certains. J’ai souvent l’air maladive, j’arbore des cernes impressionnants la plupart du temps et surtout, je suis un bordel d’ange déchu. Dites ce que vous voudrez, le fait que je sois une créature tombée en disgrâce en repousse plus d’un. Ça ne me dérange pas, en toute honnêteté, je ne m’intéresse pas à eux. Malgré cela, j’aime avoir l’air présentable. J’ai un faible pour la dentelle, les rubans et tout ce qui semblerait ridicule et déplacé sur toute autre créature de ma race. Mais que voulez vous, quand on a ma prestance, on peut tout se permettre, même les plus grandes extravagances.

Principale qualité: Je dispose d’un intelligence logique qui en laisse plus d’un pantois.
Principal défaut: J’ai peut être un sale caractère, mais au moins il est égal.
Objet fétiche: Un loquet contenant une miniature de Remiel. Je le cache dans mes vêtements…que voulez vous, nous avons tous nos faiblesses.

.:Your past and your present:.

Histoire: (Un minimun de 15 lignes est demandé ici. Parlez nous de votre personnage, de tout ce qui peut être utile pour mieux le connaître.) Pour vous humains, je suis née, (c'est-à-dire que j’ai fait mon apparition dans le monde terrestre) en l’an 1429 après Jésus-Christ, notre sauveur. Enfin, votre sauveur, pas le mien. Toujours est-il qu’à ma naissance, la chrétienté était déjà bien implantée, et aux quatre coins de l’Europe, l’on chantait les louanges du seigneur, de son divin fils, de ses martyrs et bien sûr de ses anges. Dès mes premiers instants sur terre, je me trouvais enivrée de tous ces cantiques et prières, de toutes ces voix mortelles implorant leur père tout puissant. Pour une ange comme moi, une débutante dans le monde physique, ce spectacle était étourdissant, incompréhensible. Mais ce qui me déstabilisa le plus, ce fut toute cette souffrance, cette horrible souffrance. Elle était partout autour de moi, en chaque humain, en chaque animal, le jeune, le vieux, le chien, le loup. Jamais une telle angoisse n’avait étreinte ainsi mon cœur d’immortelle telle que celle que je ressentais alors que je regardais l’humain que je devais protéger, un minuscule bébé naissant, agoniser. Je fus impuissante à le sauver, il mourut au bout d’à peine trois jours. Cette situation était courante, à l’époque, mais oh combien horrible et incompréhensible pour quelqu’un comme moi qui n’avait jamais ressentit la douleur. Maintenant je la sentais dans tout mon être, pas physiquement bien sûr mais émotionnellement, psychologiquement. Je me laissai aller à pleurer des larmes amères, et comme vous vous en rendrez compte plus tard, elles ne furent pas les dernières. Puis j’eu sous ma charge un nouvel humain, qui vécu une vie d’une longueur respectable pour l’époque, et puis un autre, et un autre encore. Beaucoup de mes humains moururent en bas âges, et chacune de ces morts me causait une peine indescriptible, mais j’apprenais lentement à ne pas trop m’attacher à ces fragiles créatures à l’existence misérable, tous des paysans pour ma part. Je pleurais toutefois chacune de leur mort. La vie suivait son cours malgré les drames quotidiens.

Puis une chose plus terrible encore que la mort de mon premier protégé survenu. Nous étions en l’an de grâce 1507 lorsqu’une épidémie de peste frappa la région où vivait l’humaine qui se trouvait à ce moment sous ma garde, c'est-à-dire Châtenois en Lorraine. La pauvre ne survécu pas longtemps à l’infectieuse maladie, ainsi que tout ses proches. Et pour la première fois, je pu constater autour de moi le désarroi provoqué par la mort sur la plupart des anges. Avec étonnement, je remarquais que même les anges déchus, que je croyait être des créatures monstrueuses et cruelles, semblaient incommodés par cette situation. Peut être est-ce à ce moment que j’ai ressenti pour la première fois un terrible sentiment d’injustice, une vraie colère qui était plus qu’un simple questionnement. Pourquoi devait-il y avoir tant de souffrance en ce bas monde ? Quelle sorte de blague cruelle était donc le monde des humains ?

Les années passaient, et cette amertume ne me quitta pas, rendant mon humeur de plus en plus sombre. Jamais elle ne me quitterais, mais cela je ne le savais pas encore. Cette horreur me semblait interminable, toutefois j’espérais encore la guérison. Comme j’ai été naïve, je le réalise maintenant et j’en ai presque honte. L’innocence de la jeunesse frappe même les esprits puissants, que voulez vous.

Bon, toujours est-il que je traversais les années sans grand enthousiasme, jusqu’au jour ou une de mes protégée sortit du lot. C’était une femme de caractère, une paysanne bien décidée à ne pas se laisser marcher sur les pieds par qui que ce soit, noblesse ou pas. Dès son jeune âge elle m’impressionna par sa force. Je l’adorais avec chaque fibre de mon être, je ne voulais que son bien être suprême. Et elle l’obtenu durant un moment, grâce à mon aide mais surtout grâce à ses qualités naturelles. Malheureusement, chaque histoire heureuse à sa fin tragique, enfin selon ce que j’ai cru remarqué. Le fort caractère de la jeune femme se retourna contre elle et elle fut poignardée à mort par quelqu’un qui de toute évidence n’aimait pas être contredit. J’entrai alors dans une colère noire, un sentiment qui m’était jusqu’alors totalement inconnu. Je voulais faire de cet homme une bouilli informe et sanguinolente, le plonger dans le plus noir des mes rêves, le punir pour son crime. À l’époque, je n’était pas encore une créature damnée et le meurtre d’un être humain aurait sans aucun doute causé ma perte sur-le-champ. J’imagine qu’en effectuant l’acte par eux même, les nombreux proches de mon trésor perdu me rendirent une sorte de service. Ils repoussèrent l’échéance de mon funeste destin, si je puis ainsi m’exprimer. Wow, cette phrase sonne vraiment mélodramatique, non ? Toujours est-il que c’est ainsi que je voyais les choses à ce moment la.

Passons maintenant sous silence plusieurs années sans grand intérêt pour vous et moi et rendons nous immédiatement dans le vif du sujet. Nous allons traiter ici de ce salaud, ce chien de Walter Gillespie. J’ai rarement rencontré une forme de vie aussi bornée, égocentrique et sans empathie. Je veux dire, sauf Amadeus. Évidemment, ce n’est pas d’Amadeus que je veux parler, car Dieu seul sait à quel point il parle assez de lui pour deux, alors revenons à nos moutons, c’est à dire cet humain fétide. Dès son inutile naissance, il n’a eu de cesse de me rendre la vie dure. Ce délicat équilibre entre l‘ombre et la lumière que je m’étais tué à adopter, il l’a détruit du revers de la main, comme s’il ne s’était agis que d’un vulgaire château de cartes. Même l’écartèlement serait un sort trop doux pour ce monstre. Je crois que les menaces de morts suffiraient peut être à le faire basculer de côté étant donné son grand amour de soi. Je commence à réfléchir sérieusement à cette pratique, quoi que je doute qu’elle me ramène du côté clair. En tout cas, elle me défoulerait. Cette homme à réellement gâché ma vie et m’a probablement coupé à jamais de celle que j’aime. Eh oui, malgré ma solitude et ma taciturnité, je suis bien capable d’amour, aussi surprenant que cela puisse paraître.

Un autre élément important dans cette histoire, toutefois, ce sont les souffrances physiques et mentales que cette ordure m’a causé…


Évènement marquant de votre vie: (il est obligatoire de le faire en style RP puisque nous allons nous servir de cela pour faire les jumelages entre les humains et les anges.)
Elle était tombée au sol, soudainement sans avertissement, quittant le royaume des cieux pour rejoindre celui des mortels. Sont point de chute se trouvait être une clairière, au beau milieu de Brookhaven Forest, bien qu’elle n’aurait put le savoir sur le moment. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’une douleur fulgurante semblait déchirer chaque fibre de son corps immortel. Sa chair lui semblait devenir comme la surface d’un soleil, brûlante, flambant de l’intérieur. Chaque surface de sa peau paraissait marqué au fer rouge et elle y toucha pour être fixée. Des frissons de souffrance parcourèrent tous son bras à travers un réseau de terminaison nerveuses plus sensibles les unes que les autres. Elle poussa un déchirant cri de douleur, un appel inutile pour une pitié qui n’existait pas.

Et ses ailes, oh ses ailes. On aurait dit qu’on les lui réduisait en lambeaux minuscules. Ses plumes étaient calcinées, brisées. Alors, l’ange sut ce qui lui arrivait. Walter avait encore fait des siennes. Il l’avait fait basculer en enfer, il l’avait damnée par son pur égoïsme, sa méchanceté. Elle devenait un ange déchu et ce n’était pas tant sa future race qui l’indisposait, c’était sa la douleur ! Pourquoi tant de douleur pour elle ? Elle ne croyait pas le mériter. La créature ne se rappelait pas avoir fait preuve de cruauté, malgré ses périodiques envies de meurtres. Et ce sentiment d’injustice déclancha en elle une rage pareille à un incendie, brûlante, dévorante, destructrice.

Virent ensuite les rires. Quelqu'un se moquait ouvertement d’elle alors qu’elle se tordait de douleur sur le sol ? Quel culot, quel outrage ! Zekiel leva ses yeux vers l’insolant. Il s’agissait dé deux démons qui passaient par là, et l’un d’entre eux paraissait beaucoup plus bruyant que l’autre.

-Oh regarde cette pauvre petite chose comme elle a mal, ricana-t-il d’un air sarcastique et une fois de plus Zekiel sentit la colère l’envahir.

Elle se redressa sur ses genoux tant bien que mal et fixa son regard rageur et agressif dans celui du démon. L’offensant personnage poussa un petit cri et d’un air rageur dit :

-Mais c’est qu’elle me fait mal cette salope !

Zekiel se laissa sombrer dans l’inconscience. Il en allait de sa santé mentale.


Pourquoi êtes-vous devenu(e) mauvais(e)? : Je n’ai jamais été particulièrement partiale d’un côté ou d’un autre voyez vous, j’ai souvent marché sur cette fine ligne qui sépare le bien et le mal. Et puis le bien, parlons en du bien. Qu’y à t il de bien, de naturel à la mort de centaines de nourrissons ? Pourquoi devrait-je accepter sans broncher les malheurs qui m’accablent, moi et mes protégés. Oui, je hais Walter pour ce qu’il est devenu, pour la souffrance qu’il m’apporte, pour sa totale insensibilité. Mais j’éprouve un grand soulagement à l’idée de savoir qu’il se trouve à l’abri des souffrances de la vie. Peut-être est-ce pareille mentalité qui m’a rendue comme je suis. Je ne dirais pas mauvaise, je dirais…libre. C’est beaucoup moins péjoratif, merci. Maintenant que je me trouve où je suis, j’y suis très bien, et l’on me fera pas changer d’avis.


Dernière édition par Zekiel le Ven 11 Juil - 22:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Zekiel - Admin louche   Zekiel - Admin louche Icon_minitimeSam 10 Mai - 5:47

Relations amicales: J’imagine que l’on pourrait considérer, à la limite, Amadeus comme une sorte d’ami… Mais il faudrait vraiment me prêter des intentions que je n’ai pas.
Je n’ai pas vraiment d’amis, sincèrement, que des gens que je respecte et qui ne me cassent pas trop les pieds, comme Abbadon par exemple. Je les tolère.
Relations amoureuses: Ma douce Remiel… je l’aime tellement, d’un amour bizarre pour moi qui est si froide. Quand je pense à elle, je deviens toute molle et romantique. Peut être un jour saurai-je si elle partage mes sentiments, et ce malgré ma condition.
Pour ce qui est d’Emily, vous voulez rire ? Cette petite humaine n’est qu’un jouet pour moi, et je ne suis qu’un jouet pour elle. Je me plait ainsi.
Relations conflictuelles: Elles sont trop nombreuses pour être énumérées, mais j’affirmerais qu’un certain Walter Gillespie mérite que je lui fasse extrêmement mal.

.:You:.

Personnalité sur l'avatar: Amy Lee
Surnom: Allons-y avec Zeke
Age: 17 ans
Masculin ou féminin? Féminin
Où avez connu le forum? The answer, my friend, is blowin' in the wind.
Votre niveau rp: 8/10
Commentaires: Au fond, le punch c'est qu'on est tous des robots.
Code: Okydokie
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